Elles nous rappellent que le pays compte 11 millions d’habitants descendants de la civilisation Maya. Au Nord se trouve une grande zone de jungle presque inaccessible, au Sud ce sont les montagnes (les hautes terres), c’est là que l’on peut rencontrer des tisserands.
Une seule route goudronnée traverse le pays d’Est en Ouest ce qui encourage l’analphabétisation (beaucoup d’isolement). Les familles sont souvent composées de 10 à 12 enfants. Le matin, les femmes préparent les tortillas à base de farine de maïs (base de leur alimentation) puis elles s’attèlent à leur métier sous la bienveillance d’ Ixchel, déesse de la lune et du tissage.
Les métiers sont très rudimentaires, elles font des Ikat, tissages par brochage, ainsi que des broderies. Le vêtement traditionnel féminin est coloré, aux motifs spécifiques à chaque village, il se compose d’une blouse (le huipil), d’une jupe (la corte), tenues par une ceinture également tissée. Les femmes portent également sur l’épaule un Tzute, piéce de tissu pouvant avoir plusieurs utilités (baluchon…).
Les métiers sont très rudimentaires, elles font des Ikat, tissages par brochage, ainsi que des broderies. Le vêtement traditionnel féminin est coloré, aux motifs spécifiques à chaque village, il se compose d’une blouse (le huipil), d’une jupe (la corte), tenues par une ceinture également tissée. Les femmes portent également sur l’épaule un Tzute, piéce de tissu pouvant avoir plusieurs utilités (baluchon…).
La journée s’est clôturée par un tour de table pour présenter notre travail textile des derniers mois.
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